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Matériaux métalliques frittés, à l'exclusion des métaux-durs - Détermination de la dureté apparente et de la microdureté

NF EN ISO 4498

Suivie par la Commission : Métallurgie des poudres Origine des travaux : Internationale
    Motif : Revision de norme

Résumé:

La présente Norme internationale spécifie les méthodes d'essai de la dureté des matériaux métalliques frittés, à l'exclusion des métaux-durs. Le mode opératoire 1 détermine la dureté apparente de l'ensemble du matériau. Le mode opératoire 1 : s'applique aux matériaux métalliques frittés qui n'ont été soumis à aucun traitement thermique, ou qui ont subi un traitement thermique tel que leur dureté soit essentiellement uniforme jusqu'à une profondeur d'au moins 5 mm au-dessous de la surface, s'applique aux surfaces des matériaux métalliques frittés qui ont subi un traitement tel que leur dureté ne soit pas uniforme sur une section de profondeur de 5 mm au-dessous de la surface, s'applique par conséquent aux matériaux dont la dureté est obtenue essentiellement par enrichissement de la surface en carbone ou carbone et azote (par exemple cémentation, carbonitruration, nitrocarburation ou sulfuration), et s'applique aux matériaux qui ont été trempés par induction. Le mode opératoire 2 détermine la microdureté de la phase métallique. Le mode opératoire 2 : s'applique à tous les types de matériaux métalliques frittés, est spécialement utilisé pour déterminer le profil de dureté des matériaux cémentés ou carbonitrurés, conformément à la méthode décrite dans l'ISO 4507, et s'applique également à tout matériau métallique fritté qui a été soumis à un traitement de surface tel que le revêtement électrolytique, le revêtement chimique, le dépôt chimique en phase vapeur (CVD), le dépôt physique en phase vapeur (PVD), le laser, le bombardement ionique, etc. Le mode opératoire 2 s'applique en vue de la détermination de la microdureté des surfaces traitées.

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Informations complémentaires :
  • Les normes sont élaborées par des commissions de normalisation, gérées par AFNOR et les Bureaux de normalisation des professions, qui rassemblent des représentants de toutes les parties intéressées (producteurs, utilisateurs, pouvoirs publics, associations, centres techniques, …).

    En vue d'améliorer la qualité de ces documents,un dispositif de retour d'expérience a été mis en place auprès des utilisateurs. L’information recueillie permettra en particulier d'apprécier la nécessité de modifier le document publié.

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