Cette méthode s'applique soit aux fibres textiles cellulosiques naturelles telles que le coton, le lin, la ramie, soit aux fibres et filaments de cellulose régénérée, tels que viscose, modal, etc. Toutefois, elle n'est applicable que pour autant que la cellulose soit soluble dans la CED ou que les matières étrangères à la fibre cellulosique puissent être au préalable éliminées par un procédé n'altérant pas la cellulose. C'est ainsi qu'il n'est fréquemment pas possible de déterminer le DPv' par cette méthode, sur fibres teintes avec certains colorants réactifs ou ayant subi certains traitements d'apprêts. Il en est de même pour certaines fibres telles que chanvre, jute, etc. pour lesquelles les essais d'élimination des constituants non cellulosiques entraînent en général une dégradation non contrôlable de la cellulose dont on veut mesurer le DPv. En outre, il a été constaté que certains cotons mercerisés ne pouvaient se dissoudre complètement.

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